Le médicament Amoxicilline Trihydraté est un antibiotique du groupe des pénicillines.
Il est indiqué dans le traitement des infections bactériennes suivantes :
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Il est utilisé pour traiter des infections dues aux bactériesBordetella, Streptococcus pneumoniae, Neisseria gonorrhoea, Neisseria meningitidis ou Streptococcus agalactiae, en particulier dans des infections sévères (ulcère de l'estomac ou du duodénum, méningite, méningite purulente).
Enfin, il est également indiqué pour le traitement d'infections urinaires simples et compliquées, la prophylaxie de la gonorrhée et de la syphilis et la prévention des infections à chlamydia.
Il est utilisé pour traiter des infections bactériennes sévères. Son mécanisme d’action est inconnu mais il semble être dû à une réduction de la durée du cycle cellulaire des bactéries. Il est utilisé dans le traitement d'infections dues à des bactériesStaphylococcus aureus, Streptococcus pneumoniae, Neisseria gonorrhoea, Neisseria meningitidis ou Streptococcus agalactiae.
Ce médicament appartient au(x) groupe(s) générique(s) suivants :
Code CIP : 359 251-1 ou 34009 359 251 1 1
Déclaration de commercialisation : 18/02/2020
Cette présentation est
agréée aux collectivitésEn pharmacie de ville : Prix hors honoraire de dispensation : 4,40 €
Honoraire de dispensation: 1,02 €
Prix honoraire compris : 5,42 € Taux de remboursement : 65%Une boîte de 20 comprimés
Les libellés affichés ci-dessous ne sont que des résumés ou extraits issus des avis rendus par la Commission de la Transparence. Seul l'avis complet de la Commission de la Transparence fait référence. Cet avis est consultable à partir du lien "Avis du jj/mm/aaaa" ou encore sur demande auprès de la HAS (plus d'informations dans l'aide). Les avis et synthèses d'avis contiennent un paragraphe sur la place du médicament dans la stratégie thérapeutique.
Classe pharmacothérapeutique : anti-inflammatoires non stéroïdiens, code ATC : M01AH01.
Mécanisme d'action
L'inflammation provoque une douleur et une inflammation.
L'action locale de l'inflammation est inhibée par la synthèse des prostaglandines (PG) en inhibant la synthèse des prostaglandines. L'inhibition de la synthèse des prostaglandines en augmentant la quantité de PG dans le corps entraîne une augmentation de la durée du traitement et un effet analgésique. L'action des prostaglandines en termes de péritonite et de réponse au traitement est réduite. L'inhibition de la synthèse des prostaglandines en termes de péritonite (réaction locale de l'inflammation) diminue les symptômes de l'infection.
L'action locale de l'inflammation est inhibée par la synthèse des prostaglandines en augmentant la quantité de PG dans le corps entraînant une augmentation de la durée du traitement et un effet analgésique. L'inhibition de la synthèse des prostaglandines en termes de péritonite (inflammation) diminue les symptômes de l'infection.
Efficacité et sécurité clinique
Le traitement par l'ibuprofène est un processus mécanique. Dans les cas isolés, l'ibuprofène peut réduire l'efficacité des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS). Cela dit, dans l'intestin grêle, il faut être vigilant et ne pas dépasser la dose de l'ibuprofène.
Effets pharmacodynamiques
Des études in vitro et in vivo ont montré que l'ibuprofène entraînait une réponse pharmacologique plus rapide que les AINS, tandis que le nombre d'effets indésirables semblent désormais plus courants que les AINS.
La tolérance du lien entre l'ibuprofène et le processus métabolique est un facteur prédictif de l'efficacité du traitement par l'ibuprofène.
Les études ont montré qu'une dose de 400 mg par jour n'a pas d'effet sur la réponse immunitaire. Cependant, une dose de 400 mg par jour n'a pas d'effet sur la sécurité de l'infection. Une dose unique de 400 mg par jour n'a pas d'effet sur la tolérance du lien entre l'ibuprofène et le processus métabolique. L'ibuprofène est un médicament utilisé pour les traitements par voie orale et doit être pris au moins 30 minutes avant l'activité sexuelle prévue, avant le début du traitement.
Efficacité et sécurité cliniques
L'ibuprofène est un inhibiteur sélectif de la prostaglandine P2Y1. Il agit en bloquant l'enzyme P2Y1, la quinine. L'ibuprofène est également un inhibiteur sélectif de la cyclo-oxygénase (COX) 2. L'ibuprofène a des propriétés anti-inflammatoires, anti-épileptiques et antalgiques.
Dans une étude clinique, l'ibuprofène pouvait induire une réponse immunitaire comparable à celle observée pendant une dose de 400 mg par jour.
L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) publie une fiche technique sur le risque d’infection par le virus de l’hépatite C (VHC) chez les patients naïfs de traitement anti-VHC ou présentant des facteurs de risque (transfusions sanguines, co-infection VIH). Les médicaments concernés sont la spécialité ISENTRESS 100 mg (réservée aux patients naïfs de traitement anti-VHC), la spécialité TAREG 100 mg et la spécialité INDAPAMINE LP 10 mg (réservée aux patients présentant un risque d’infection lié à la co-infection VIH-VHC) (1). Des informations relatives à l’augmentation du risque d’infection par le VHC sont également disponibles dans la fiche technique du vaccin contre le virus de l’hépatite B (VHB).
L’Agence rappelle que ce risque peut être augmenté chez certains patients, tels que les patients naïfs de traitement anti-VHC, les patients ayant une hépatite chronique et les patients porteurs d’une hépatite chronique C et de transplantations hépatiques récentes.
L’ANSM rappelle également que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité ISENTRESS (réservée aux patients naïfs de traitement anti-VHC) dans les infections à VHC chez les patients ayant une maladie hépatique avancée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).
Dans un avis du 29 juin 2013, l’ANSM soulignait que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité ISENTRESS (réservée aux patients naïfs de traitement anti-VHC) dans les infections à VHC chez les patients ayant une maladie hépatique avancée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).
Dans cette même recommandation, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur les risques de transmission du VHC par perfusion de sérums de rats et de singes après administration de ce produit. Ces études sont insuffisantes pour établir une relation de causalité entre la vaccination contre le VHC et la transmission du VHC, et l’ANSM recommande de ne pas utiliser de sérums de rats et de singes pour la réalisation de ce type d’essais cliniques.
De plus, la survenue de cas d’infection par le VHC chez des patients naïfs de traitement anti-VHC a été signalée dans des essais cliniques en cours de développement ou déjà en cours de commercialisation (2, 4). Les études d’efficacité et de tolérance dans le traitement de l’hépatite C sont en cours et la sécurité de ce médicament ne peut être établie à ce stade. Dans ce contexte particulier, il est recommandé de privilégier une administration en intraveineux direct (IVD).
Les patients naïfs de traitement anti-VHC ou porteurs d’une hépatite chronique non traitée sont donc invités à respecter les précautions décrites dans la Fiche technique sur le risque d’infection par le VHC chez les patients naïfs de traitement anti-VHC et dans la fiche technique sur le risque d’infection par le VHC chez les patients présentant des facteurs de risque (transfusions sanguines, co-infection VIH-VHC) (1).
Dans un avis du 30 juin 2013, l’ANSM rappelle que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité TAREG 100 mg dans les infections à VHC chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).
Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM indique que les données issues des études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité TAREG 100 mg dans les infections à VHC chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie.
Il convient donc de privilégier la réalisation d’une biopsie hépatique dans les cas de transplantation hépatique ou de maladie hépatique chronique pour évaluer la réponse au traitement.
Enfin, il est rappelé que la surveillance des patients recevant TAREG 100 mg dans le cadre de l’hépatite chronique non traitée doit être renforcée en particulier chez les patients présentant une co-infection VIH-VHC. L’ANSM invite les professionnels de santé à poursuivre leur information et leur éducation à l’hygiène de vie et à demander un avis spécialisé si une hépatite chronique non traitée est suspectée.
Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients présentant une hépatite chronique et une co-infection VIH-VHC. Il est rappelé que ce traitement comporte un risque de transmission du VHC, et qu’une prise de sang est systématiquement demandée dans le cadre de cette surveillance.
L’ANSM rappelle également que les patients présentant une hépatite chronique non traitée ont un risque accru d’infection par le VHC. Les études de phase III menées dans la cohorte ECOG-2 sur l’utilisation de la spécialité TAREG 100 mg dans les infections à VHC chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée indiquent que ce médicament n’a pas d’effet délétère sur la progression de la maladie (2).
Dans la même recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée. En effet, la co-infection VIH-VHC et l’hépatite chronique non traitée peuvent concourir à une augmentation du risque d’infection par le VHC, et en particulier de transmission du VHC, en particulier chez les patients présentant une hépatite chronique non traitée.
Il est donc recommandé de réaliser une biopsie hépatique dans les cas de transplantation hépatique ou de maladie hépatique chronique dans le cadre du suivi de ces patients à risque d’infection par le VHC. L’ANSM rappelle qu’il est important de poursuivre la surveillance des patients recevant TAREG 100 mg dans le cadre de l’hépatite chronique non traitée (2, 4).
Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée.
Il est recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée et de réaliser des prélèvements biliaires et/ou pancréatiques si ces prélèvements s’avèrent positifs.
Enfin, les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée ont un risque accru d’infection par le VHC. Il est donc recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients porteurs d’une hépatite chronique non traitée.
Dans une autre recommandation du 29 juin 2013, l’ANSM attire l’attention des professionnels de santé sur la nécessité de réaliser une biopsie hépatique chez les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée.
Il est recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée et de réaliser des prélèvements biliaires et/ou pancréatiques si ces prélèvements s’avèrent positifs.
Enfin, les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée ont un risque accru d’infection par le VHC. Il est donc recommandé de réaliser une biopsie hépatique chez les patients atteints d’une maladie hépatique chronique non traitée.
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